Allan Teramura a rencontré la ministre de l’Environnement et du Changement climatique
À la fin de décembre, peu après la fin de la session parlementaire, j’ai eu l’occasion de déjeuner avec l’honorable Catherine McKenna, ministre de l’Environnement et du Changement climatique.
Je l’ai trouvée bien informée sur le rôle que peut jouer le secteur du bâtiment pour atteindre les objectifs du pays en matière climatique, à un point tel qu’elle parlait en toute connaissance de cause du programme allemand Passivhaus et des débouchés qu’un tel programme peut offrir aux fabricants canadiens d’éléments de bâtiments, comme les fenêtres. Nous avons également discuté du besoin de réhabiliter les bâtiments existants et du rôle que peut jouer la bonne conception dans ce processus.
Après avoir discuté de nombreux sujets, je lui ai laissé un ouvrage dont la lecture était obligatoire lorsque j’étais étudiant au programme d’études en environnement à la Faculté d’architecture de l’Université du Manitoba, Passive Solar Design in Canada, un document de travail publié par Ressources naturelles Canada à la fin des années 1970. Elle a été surprise d’apprendre que le Canada a déjà été un chef de file mondial en ce domaine et que le gouvernement fédéral jouait un rôle déterminant à cette fin. Elle a promis qu’elle montrerait ce document au ministre des Ressources naturelles, comme preuve qu’on peut le redevenir.
La ministre s’est montrée intéressée par le groupe de travail sur les autochtones de l’IRAC et elle a suggéré une rencontre avec la ministre des Affaires autochtones et du Nord, l’honorable Carolyn Bennett.
Mon mandat de président de l’IRAC a pris fin, mais je suis convaincu que l’IRAC continuera de développer cette relation et d’en créer de nouvelles.
Allan Teramura, PP/FRAIC